Ambush: Mission 2 , Progression sur Chasoul. Page 2
C’est un sniper ; il a attendu le bon moment et tire sur le sergent en pleine course…
BAM ; la balle passe juste au dessus de la tête de Smith. Le sniper se jette à plat ventre dans la cabane, croyant ne pas avoir été repéré.
Mais Smith a vu d’où le coup est parti ; sans attendre et pour éviter de rester à découvert sur la voie de chemin de fer, il court vers la cabane, au passage, fait signe à Brown de lui coller au train. Les deux hommes foncent à travers le pont de pierre et se jettent à plat ventre sous la fenêtre.
L’allemand reste tapi dans l’ombre. L’avion de reconnaissance refait un passage, à nouveau sans les voir.
Alors qu’il se relève, Smith remarque des traces fraîches de roues sur le chemin de terre. Quelqu’un est passé pas là il y a peu de temps.
On verra cela plus tard, il est temps de donner l’assaut ; Smith se prépare ; Brown dégoupille et lance une grenade à travers la fenêtre.
L’allemand n’a pas le temps de réagir pour relancer la grenade qui explose dans un coin. Il panique et reste caché, les mains sur la tête.
C’est le moment. Smith enfonce la porte de la cabane et essaye d’éliminer son adversaire : sans succès.
L’allemand riposte, dans la panique, mais rate son tir. La sentence ne se fait pas attendre et Smith tire une courte rafale de thompson, suffisante pour mettre son adversaire hors d’état de nuire.
La cabane est sécurisée. Brown entre à son tour, et ils sont rapidement rejoints par Williams et Miller.
Williams remarque également les traces de roues. Il va falloir contrôler ça.
Au même moment, au nord du village, le Caporal Johnson et ses hommes progressent dans le calme entre les broussailles.
Soudain, un frisson lui traverse l’échine ; il aperçoit un char à l’entrée du village, un panzer IV… On n’a pas de bazooka …
Il fait signe à ses hommes de ne plus bouger d’un poil et sort ses jumelles. Un soupir de soulagement. Il est détruit, hors service.
On reprend la patrouille. Il faut entrer dans la maison au sud.
Johnson déploie ses hommes et envoie Jones en éclaireur. Ce dernier progresse allongé.
Pas un bruit, pas un mouvement. C’est trop calme. Une fois près de la porte, Johnson, Davis et Anderson se déploient et Jones entre.
Personne à la maison. Il faut sécuriser le périmètre.
BAM ; la balle passe juste au dessus de la tête de Smith. Le sniper se jette à plat ventre dans la cabane, croyant ne pas avoir été repéré.
Mais Smith a vu d’où le coup est parti ; sans attendre et pour éviter de rester à découvert sur la voie de chemin de fer, il court vers la cabane, au passage, fait signe à Brown de lui coller au train. Les deux hommes foncent à travers le pont de pierre et se jettent à plat ventre sous la fenêtre.
L’allemand reste tapi dans l’ombre. L’avion de reconnaissance refait un passage, à nouveau sans les voir.
Alors qu’il se relève, Smith remarque des traces fraîches de roues sur le chemin de terre. Quelqu’un est passé pas là il y a peu de temps.
On verra cela plus tard, il est temps de donner l’assaut ; Smith se prépare ; Brown dégoupille et lance une grenade à travers la fenêtre.
L’allemand n’a pas le temps de réagir pour relancer la grenade qui explose dans un coin. Il panique et reste caché, les mains sur la tête.
C’est le moment. Smith enfonce la porte de la cabane et essaye d’éliminer son adversaire : sans succès.
L’allemand riposte, dans la panique, mais rate son tir. La sentence ne se fait pas attendre et Smith tire une courte rafale de thompson, suffisante pour mettre son adversaire hors d’état de nuire.
La cabane est sécurisée. Brown entre à son tour, et ils sont rapidement rejoints par Williams et Miller.
Williams remarque également les traces de roues. Il va falloir contrôler ça.
Au même moment, au nord du village, le Caporal Johnson et ses hommes progressent dans le calme entre les broussailles.
Soudain, un frisson lui traverse l’échine ; il aperçoit un char à l’entrée du village, un panzer IV… On n’a pas de bazooka …
Il fait signe à ses hommes de ne plus bouger d’un poil et sort ses jumelles. Un soupir de soulagement. Il est détruit, hors service.
On reprend la patrouille. Il faut entrer dans la maison au sud.
Johnson déploie ses hommes et envoie Jones en éclaireur. Ce dernier progresse allongé.
Pas un bruit, pas un mouvement. C’est trop calme. Une fois près de la porte, Johnson, Davis et Anderson se déploient et Jones entre.
Personne à la maison. Il faut sécuriser le périmètre.
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